2 appareils s’y rendront une nouvelle fois en janvier 2019, afin de réaliser un vol retour direct de 9000 km, 12 heures et 5 ravitaillements en vol. 4 à 5 minutes sont nécessaires pour faire le plein d’un Rafale, même équipé de 3 bidons de 2000 litres. Sans ravitaillement en vol le Rafale peut patrouiller 3h15 à 150 km de sa base, contre 2h30 pour le Typhoon, 1h15 pour le Gripen. En configuration « lisse », l’appareil tient 1h30 à 450 kts et basse altitude, soit plus de 1200 km. En Afghanistan, les Rafale pouvaient en général rester 30 mn de plus sur zone avant d’aller ravitailler par rapport aux Mirage 2000 (Source « Rafale en Afghanistan. Avec 1200 kg de carburant, l’appareil peut tenir 24 minutes avant extinction des moteurs. Solenzara, les Rafale de l’EC-1/7 « Provence » infligent une correction sans appel en combat canon (BFM) aux Typhoon britanniques. Bilan: neuf victoires pour une défaite, et encore celle-ci a-t-elle été enregistrée par un tout jeune pilote de Rafale. On peut faire un parallèle avec l’achat des deux BPC (Mistral) par la Russie en 2010 qui permettait aussi d’envisager une meilleure coopération entre la France et la Russie. Les propositions de compensation ne manquent pas. Petro Porochenko, le président ukrainien, voudrait vendre son usine de chocolat Roshen (qui sont délicieux et très populaires auprès de la population) iv de Lipetsk en Russie. Les Russes voudraient permettre aux chocolatiers belges de reprendre cette usine dans de bonnes conditions pour produire d’autres chocolats de qualité et les inventeurs de la praline ont une place à prendre. L’usine de chocolats Roshen à Lipetsk. Les brasseurs belges se frottent aussi les mains et ils se voient déjà devenir les premier producteurs de bières en Russie. Il y aura certainement des réactions négatives de l’Administration Trump et de l’OTAN. Elles tomberont plus tard dans la journée à cause du décalage horaire. Dernier flash de l’agence Belga de ce matin à 6h35. Le chef des Forces aériennes belges, le lieutenant-général Jean Aimar du Pwaçon aurait démissionné. Et de manière assez prévisible les cinq constructeurs en lice sont encore une fois les mêmes que d’habitude : Airbus Defense & Space, Boeing, Dassault Aviation, Lockheed-Martin, et Saab. Pourtant les avions, eux, sont légèrement différents. On retrouve donc dans cette compétition respectivement le Typhoon, le Super Hornet, le Rafale, le Lightning II, et enfin le Gripen. Et oui dans ce cas précis le F-35A a remplacé l’éternel F-16 Fighting Falcon. Il faut dire que le dernier né des avions américains semble bel et bien taillé pour en découdre avec ces quatre opposants. Bien malin sera celui ou celle qui saura dire à l’avance lequel de ces avions de combat a des chances de l’emporter. Car tous ont des avantages certains mais aussi indubitablement des défauts vis à vis de leurs compétiteurs respectifs. Mais surtout cet affrontement va voir pour la première fois le Lockheed-Martin F-35A Lightning II opposer à ses adversaires naturels sans pour autant que les dés ne soient pipés par une quelconque règle issue du programme Joint Strike Fighter. La Suisse n’y a en effet jamais adhéré. Par ailleurs n’étant membre ni de l’OTAN ni de l’Union Européenne la Suisse ne pourra pas subir de pression de telle ou telle organisation. Ce qui au final mettra les cinq avions sur un pied d’égalité. Fort évidemment aucun avion russe ou chinois n’a répondu aux exigences du cahier des charges. Et c’est donc bien d’un point de vue militaire et/ou technologique que ces trois biréacteurs et ces deux monoréacteurs seront départagés. Et rien que pour ça on en salive d’avance. Plus d’information sur cette activité de vol en L-39 Paris en cliquant sur le site internet de l’organisateur.